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Financement prêt

Épargne

L'épargne est la partie du revenu qui - pendant une période donnée - n'est pas dépensée. Cette somme d'argent n'est pas détruite immédiatement par une dépense de consommation et peut être conservée sous forme liquide (constitution d'encaisses ou de réserves motivées par une recherche de précaution ou l'échéance d'une dépense importante à venir), ou être réinvestie dans le circuit économique sous la forme d'un placement ou d'un investissement.

Tous les agents économiques peuvent ou doivent épargner. C'est le fait des ménages, mais aussi des entreprises (autofinancement), de l'économie nationale (qui doit pour ce faire se ménager une balance des paiements courants excédentaire) ainsi que de l'État (problématique de l'excédent budgétaire).

La notion d'épargne cache des discordes théoriques relatives aux déterminants de l'épargne, aux conséquences de l'épargne sur l'économie globale et même aux différentes façons de mesurer l'épargne.

Investissement

L'investissement est l'acte par lequel une entreprise dépense de l'argent pour en gagner plus. 

Au contraire d'une charge qui est la résultante de l'exploitation, l'investissement est un engagement de l'entreprise et de ses actionnaires. Il peut par exemple consister en l'achat de machines plus performantes, ou en l'ouverture de nouveaux points de vente. 

Une société peut effectuer plusieurs investissements en même temps. Une entreprise peut investir sur ses fonds propres ou en combinant un apport personnel avec un emprunt. 

Avant d'accorder un financement, banques et sociétés de crédit professionnel ont besoin d'analyser l'investissement et en particulier de connaître le retour sur investissement attendu. Le fait d'investir représente un risque pour les actionnaires, qui ne percevront pas la part de bénéfices réinvestis et n'ont aucune garantie d'en tirer les fruits
Le potentiel de retour d'un investissement se calcule avec sa valeur actuelle nette. 

Carte de crédit

À l'inverse de la carte de débit, dont les dépenses sont débitées directement du compte courant du porteur (au jour le jour ou mensuellement), les dépenses effectuées avec une carte de crédit sont débitées directement d'une réserve de crédit renouvelable. Plusieurs modes de remboursement sont généralement proposés : soit au comptant différé mensuel (souvent gratuit), toutes les dépenses du mois en cours sont prélevés en une seule fois, comme une carte à débit différé, soit par petites mensualités (avec intérêts). L'utilisateur peut changer de mode de remboursement à volonté, quand il le souhaite. Elles peuvent permettre également de financer un achat important en 3 ou 4 fois sans frais ou avec frais réduits (option souvent proposés par les cartes de magasins). Elles sont très généralement gratuites ou très peu chères.

Elles peuvent être de différents types :

  • carte de retrait limitée au retrait d'argent liquide aux guichets automatiques bancaires, soit interne au réseau bancaire qui l'a émise, soit interbancaire ;

  • carte de paiement bancaire (par exemple, Europay Mastercard Visa) de type classique, avec autorisation systématique ou non, ou même haut de gamme (Visa Premier, MasterCard Gold, MasterCard Platinum). À niveau de carte identique, leurs plafonds de paiement et/ou de retrait sont parfois plus élevés que ceux de leurs homologues de débit (généralement égale à la réserve disponible pour les paiement, 500 € ou plus par semaine pour les retraits, dans la limite de la réserve disponible) ;

  • carte de paiement d'enseigne commerciales : utilisable dans la chaîne de magasins (et magasins partenaires) par laquelle elle a été émise, par exemple la carte Pass de Carrefour, carte FNAC. Les opérations sont néanmoins gérées par une banque. Elles peuvent parfois être utilisées pour effectuer des retraits dans certains distributeurs ;

  • carte de paiement non bancaire, Aurore, Cofinoga, Amex, etc. Parfois comarquée de l'enseigne où elle a été émise. Elle est utilisable chez tous les commerçants et dans tous les guichets automatiques bancaires du réseau auquel appartient la carte.

Finance

La finance recouvre un domaine d'activité — celui du financement — qui consiste à fournir l'argent nécessaire à la réalisation d'une opération économique. Ce domaine concerne aussi bien les individus, les ménages que les entreprises publiques ou privées, mais aussi les États.

La recherche de financement obéit à deux types d'objectifs suivant le volume initial de capital :

  • à niveau de capital restreint, on cherche à obtenir des capitaux nécessaires et suffisants pour entreprendre, maintenir ou développer une activité ;

  • à niveau de capital avéré, l'objectif est de trouver les placements les plus pertinents en performance et en sécurité en fonction de la valeur temps de l'argent.

Le mot « finance » peut également désigner :

  • soit les techniques qui permettent de façon raisonnée d'obtenir et de placer des capitaux ;

  • soit les agents économiques ou les institutions qui recherchent des capitaux disponibles ou souhaitent en placer (soit une définition liminaire qui serait : acheter ou vendre de l'argent).

Pour se financer, un agent économique (une organisation privée ou publique, ou un particulier) peut procéder :

Gestion

Gérer une entreprise ou un organisme communautaire, c'est développer et mettre en place les outils qui permettent le partage d'informations, la discussion de stratégies et la prise de décisions en toute transparence. La gestion permet de fixer les priorités. Les résultats financiers démontrent la santé de l'entreprise ou de l'organisation tout en protégeant ses intérêts et ceux du public.

Selon l'Agence du revenu du Canada1 qui régit et perçoit les impôts fédéraux, provinciaux et territoriaux sur le revenu des particuliers (sauf au Québec), une entreprise est une activité que l'on entame afin de tirer des profits. Une entreprise comprend :

 

  • la pratique d'une profession libérale;

  • la pratique d'un métier;

  • l'exploitation d'un commerce;

  • l'exploitation d'une entreprise de fabrication;

  • l'exploitation d'une entreprise de tout autre genre;

  • la poursuite d'un projet comportant un risque ou une affaire de caractère commercial.

 

Une organisation sans but lucratif peut obtenir une charte de constitution provinciale ou fédérale. De plus, afin d'obtenir le statut d'organisation de bienfaisance, elle doit aussi être enregistrée auprès de l'Agence du revenu du Canada.

La structure de l'entreprise ou de l'organisation a une incidence sur une panoplie d'éléments. Le tableau ci-dessous donne un bref aperçu des différences et similitudes entre les diverses structures.

Taxes

La TVA est un impôt indirect sur les dépenses de consommation. Elle est payée par le consommateur et collectée par les entreprises qui participent au processus de production et de commercialisation. Le montant de la taxe est proportionnel au prix de vente hors taxe (HT).

Le principe est le suivant : l'entreprise majore son prix de vente du montant de la TVA qu'elle facture à son client et qu'elle reverse à l'Etat après déduction des montants de TVA (opération dite de récupération de la TVA) qu'elle a dû payer à ses propres fournisseurs pour acquérir les biens et services nécessaires à son activité.

La TVA est donc intégralement supportée par le consommateur, mais collectée de manière fractionnée par les "organismes assujettis" à la TVA (entreprises, certaines professions indépendantes et certaines associations). Ceux-ci reversent à l'Etat la TVA en fonction de sa"valeur ajoutée" qui est la différence entre la valeur finale des biens et services (prix de vente) et la valeur des biens et services utilisés dans le processus de fabrication.

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